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Ladite pension'cessera d'avoir lieu lorsque, ladite demoiselle Perrin quittera sa maîtresse, à moins que ce ne soit par infirmité'attestée et reconnue qui'là'mette hors'd'état'de servir, car dans ce. dernier cas, ladite pension -lui sera conservée sa vie durant, de même que si madite petite-fille Emilie de Belzunce venait à mourir ayant ladite demoiselle Perrin à.soh service. Je laisse à ladite demoiselle Perrin la liberté d!opter une somme de 2,400 livres ùne fois payée pour Iiii tenir lieu de ladite pension viagère, dans le cas/seulement où sadite maîtresse viendraità décéder l'ayant à son service.
Je donne et lègue à la demoiselle Dorléans, femme Jàlaber't,'mon ancienne femme de chambre, quoi qu'elle .ne soit plus à mon service, 200 livres de rente et pension viagère avec les mêmes avantages que les rentes ci-dessus laissées à mes domestiques. Je regarde ce legs comme un acte de justice, d'autant plus que ladité femme Jalabert était entrée à mon service sous cette condition.
Je donne et lègue' à M"e Sophie Hupé, fille de la gouvernante du même nom dè Mm6 Emilie de Belzunce, une somme de 600 livres pour être employée à son.établissement.
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